Transformers 3 : le 29 juin 2011


Qui a jeté mes micro machines ?!!

2 commentaires:

  1. Après cet audacieux teaser, qui nous dévoile la vérité sur les premiers pas de Armstrong sur la lune, je dois avouer que je ne vois toujours pas le rapport avec le trompettisme ! A croire que certaines choses sont délicates à aborder.

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  2. Rarement notre confrérie a assisté à aussi beau spectacle...
    Le film s'ouvre sur une pub Oenobiol, oups pardon, sur l'apparition de la remplaçante de Megan Fox qui monte des marches pendant un quart d'heure en petite culotte, nous laissant découvrir ses jambes longues comme celles d'Adriana...
    Poursuivons sur cette demoiselle tant qu'on y est... Mais que font les mouvements féministes? La pauvre n'apparaît que pour mettre en avant sa plastique et ses lèvres pulpées (non non, pas pulpeuses, pulpées: c'est encore un cran au-dessus). Une grande carrière lui est promise!
    Pour le reste, c'est beau: des traîtes à tout-va, de la fraternité, du sens du sacrifice, du suspens... on en ressort avec l'envie de devenir américain et de s'engager dans l'armée! Bah oui, parce que comme d'habitude c'est une poignée de vaillants américains (militaires à la retraite et civils inclus) qui sauve le monde et réussissent là où les grandes armées occidentales et leur technologie échouent... Pourquoi? Parce que eux ils se battent avec leur coeur, et ça ça n'a pas de valeur, c'est plus fort que tout: ils font des trucs débiles sous le coup de l'émotion, mais ça marche quand même!
    Sinon, côté phrase choc: "Vous pouvez cesser de croire en nous, mais vous ne pouvez pas cesser de croire en vous", certainement une référence au dicton d'Emile: "On peut tromper 1000 fois une personne..."
    Après objectivement, il faut reconnaître qu'au niveau visuel ça claque, la trilogie dans son ensemble est certainement ce qui se fait de mieux dans le domaine. Ca m'a presque réconcilié avec la 3D.
    Un dernier petit conseil en passant: ne faites jamais confiance au docteur Mamour, c'est un pourri de la pire espèce...

    El Patriarchos,
    patriarche pour de vrai,
    regrette un peu de ne pas avoir appelé son fils Shia

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