Qu'il est bon d'être américain, même quand on est autrichien... Le pitch est transcendant: un ponte du cartel échappe à 4357 agents de police lors de son transfert en prison. A bord d'une voiture surpuissante il s'échappe à grande vitesse vers le Mexique. La police ne peut plus rien, le dernier espoir de la justice repose sur le vieux shérif d'une petite bourgade paumée à la frontière (allez je vous tue le suspens, il va arrêter le grand méchant, et ouais vous tombez des nues hein?) Qui appelle-t-on lorsque le FBI et le SWAT échouent? Ce bon vieux Schwarzy (à prendre au sens littéral). Mais soyons juste, il n'est pas tout seul, il est accompagné de la fine fleur de la police, que dis-je du peuple américain, des adjoints comme on en fait pas de notre côté de l'Atlantique: 1) un papy d'origine mexicaine, froussard comme pas possible 2) une greluche, jolie mais greluche quand même... 3) un jeune qui rêve d'action, mais qu'est pas doué (et qui va crever rapidement, donnant le surplus de motivation au groupe, certainement le point clé de leur future réussite) Pardon? On me dit que ça fait léger?... Bon allez, puisque c'est vous je rajoute: 4) L'idiot du village qui possède un arsenal de guerre 5) Un vétéran de l'Irak qui a du mal à se réinsérer (qui commence le film en prison,) mais qui va trouver là une formidable 2ème chance Pardon? On me dit que c'est trop caricatural? Désolé, mais là je ne peux rien pour vous, c'est le fil rouge du film... Florilège de mes passages préférés: - la voiture qui roule à 250km/h en pleine nuit... phares éteints! - la course poursuite dans le champs de maïs - le corps-à-corps final sur le pont Et maintenant la séance comme si vous y étiez, fermez les yeux et imaginez la voix de Schwarzy: "mon honneur n'est pas à vendre" Commentaire d'u spectateur entendu à la sortie de la séance: "Je m'attendais à mieux quand même", je gens sont vraiement difficiles... Moi non, j'ai été pleinement satisfait!
El Patriarchos Rédacteur en chef du Ciné Hollywood Top Movie Magazine, Co-fondateur de la Gentlemen Navet Association
Qu'il est bon d'être américain, même quand on est autrichien...
RépondreSupprimerLe pitch est transcendant: un ponte du cartel échappe à 4357 agents de police lors de son transfert en prison. A bord d'une voiture surpuissante il s'échappe à grande vitesse vers le Mexique. La police ne peut plus rien, le dernier espoir de la justice repose sur le vieux shérif d'une petite bourgade paumée à la frontière (allez je vous tue le suspens, il va arrêter le grand méchant, et ouais vous tombez des nues hein?)
Qui appelle-t-on lorsque le FBI et le SWAT échouent? Ce bon vieux Schwarzy (à prendre au sens littéral). Mais soyons juste, il n'est pas tout seul, il est accompagné de la fine fleur de la police, que dis-je du peuple américain, des adjoints comme on en fait pas de notre côté de l'Atlantique:
1) un papy d'origine mexicaine, froussard comme pas possible
2) une greluche, jolie mais greluche quand même...
3) un jeune qui rêve d'action, mais qu'est pas doué (et qui va crever rapidement, donnant le surplus de motivation au groupe, certainement le point clé de leur future réussite)
Pardon? On me dit que ça fait léger?... Bon allez, puisque c'est vous je rajoute:
4) L'idiot du village qui possède un arsenal de guerre
5) Un vétéran de l'Irak qui a du mal à se réinsérer (qui commence le film en prison,) mais qui va trouver là une formidable 2ème chance
Pardon? On me dit que c'est trop caricatural? Désolé, mais là je ne peux rien pour vous, c'est le fil rouge du film...
Florilège de mes passages préférés:
- la voiture qui roule à 250km/h en pleine nuit... phares éteints!
- la course poursuite dans le champs de maïs
- le corps-à-corps final sur le pont
Et maintenant la séance comme si vous y étiez, fermez les yeux et imaginez la voix de Schwarzy: "mon honneur n'est pas à vendre"
Commentaire d'u spectateur entendu à la sortie de la séance: "Je m'attendais à mieux quand même", je gens sont vraiement difficiles... Moi non, j'ai été pleinement satisfait!
El Patriarchos
Rédacteur en chef du Ciné Hollywood Top Movie Magazine,
Co-fondateur de la Gentlemen Navet Association